Les poètes Français traduit en Hongrois. Linda et Tebinfea-Francia költök magyarra fordított

Français poètes. Francia költők.

lundi 30 septembre 2013

Szegény gyermekek.



Szegény gyermekek.

Apró lényüket őr vigyázza;
Hatalmas őr, az örök Isten.
Születés előtt ők a fények
Ott, a magasban kéklő égen.


Isten bőkezű, nekünk kínálja;
Jönnek; Ittlétük ajándék, áldás;
Bölcsesség a mosolyukban, 
Csókjuk merő megbocsátás.


Tisztaságuk megérint minket.
De tudd, életükre joggal vigyáznak.
Ha éhesek, zokog a mennybolt
És velük reszket, ha fáznak.


Az ártatlanok nyomorúsága
Vádolja azt, aki ellenük vétett.
A hanyag ember hatalmát nyíltan:
Ó, dördül az ég, a meg nem értett.


Isten, mikor keresvén ez árva lényeket
Minket henyélve lel  árnyas lomb alatt,
Szárnyakat ad emlékezetünknek   
Idézze a régi, saját rongyokat!

Victor Hugo.

Sillabizál egy rajnyi szőke.


Sillabizál egy rajnyi szőke.

Sillabizál egy rajnyi szőke
kisiskolás, én hallgatom.
Dünnyög a mester zsörtölődve
a fénylő tavaszi napon.

 A nyitott ajtón át belátni.
Járom a lápos réteket.
Erdők mélyén az óriási
zöld évszak sustorog-remeg.

 Minden zeng-zsong a végtelenség
e tündökletes ünnepén,
minden virág oly képtelen-szép,
úgy ragyog, hogy már szinte fény.

 Hajolok derűs lapjaidra,
roppant könyv, én is olvasok.
Ó rét, loncod micsoda líra!
Ó ég, micsoda vers sasod!

 De – rejtély! – semmi sem hibátlan.
Semmi! – Ugyan micsoda bog
köthet e buja sarjadásban
mord bogáncshoz szűz liljomot?

 Míg itt rigó fütyül fölöttem,
egy ruca a nádból kiszáll,
a csőrében gyönyörű gyöngyszem,
s az a gyöngy, jaj, agonizál!

 A hal az – s űzte az imént még
a pókot, mely az ingatag,
áttetsző, baljóslatu mélység:
kék háza tetején szaladt.

 A ciheresben puska dörren:
a vadász! Felcsahol az eb.
S ebben az olvatag gyönyörben
hirtelen fölsajog a seb.

 S a gyep alatt sarat taposva,
szomorú vándor, a fura
talányra gondolok: a rosszra,
Isten írás-hibáira.


Victor Hugo.

samedi 28 septembre 2013

Les enfants lisent, troupe blonde.



Les enfants lisent, troupe blonde.


Les enfants lisent, troupe blonde ;

Ils épellent, je les entends ;

Et le maître d'école gronde

Dans la lumière du printemps.



J'aperçois l'école entrouverte ;

Et je rôde au bord des marais ;

Toute la grande saison verte

Frissonne au loin dans les forêts.



Tout rit, tout chante ; c'est la fête

De l'infini que nous voyons ;

La beauté des fleurs semble faite

Avec la candeur des rayons.



J'épelle aussi moi ; je me penche

Sur l'immense livre joyeux ;

Ô champs, quel vers que la pervenche !

Quelle strophe que l'aigle, ô cieux !



Mais, mystère ! rien n'est sans tache.

Rien ! - Qui peut dire par quels noeuds

La végétation rattache

Le lys chaste au chardon hargneux ?



Tandis que là-bas siffle un merle,

La sarcelle, des roseaux plats,

Sort, ayant au bec une perle ;

Cette perle agonise, hélas !



C'est le poisson qui, tout à l'heure,

Poursuivait l'aragne, courant

Sur sa bleue et vague demeure,

Sinistre monde transparent.



Un coup de fusil dans la haie,

Abois d'un chien ; c'est le chasseur.

Et, pensif, je sens une plaie

Parmi toute cette douceur.



Et, sous l'herbe pressant la fange,

Triste passant de ce beau lieu,

Je songe au mal, énigme étrange,

Faute d'orthographe de Dieu.


Victor Hugo.


mardi 24 septembre 2013

A dzsinnek.

 A dzsinnek.

Part, város

alél,

halálos

az éj,

most halkabb

a halk hab

és hallgat

a szél.


Bujdosó jaj,

gyenge nesz,

éji sóhaj

lengedez,

riad és ráng,

bús lidércláng-

űzte, vészhányt

lélek ez.


A hang rikoltoz,

mint fura dob.

Fürge kobold torz

tánca, galopp.

Fut tova, mintha

lábhegyen ingna,

s szökdelli ringva

a langy habot.


A zaj ideszálldos,

ekhózza a táj,

mint klastromi, átkos

harang szava száll,

tömeg zaja, durva,

mely döngve, gurulva

lohad, de megújra

növeszti dagály.


Nagy Ég! a dzsinnek kripta-

zúgása!... - Szörnyű zaj!

Lapuljunk, elföd itt a

kanyargó grádics-alj!

Lámpám kilobban immár,

a párkány árnya himbál

s a mennyezetre ring már,

amerre fut a fal.


Itt dzsinni hadak robognak

s örvényük füttye nő.

A fák röptükre ropognak,

mint a lángoló fenyő,

ez a nyáj súlyos, de fürge,

tovaszáll a csöndes űrbe,

mint villámos méhű, szürke

ólomfelleg zúg elő.


Egész közel már! - Ámde könnyű

kacagnunk őket zár mögött.

Mily lárma forr künn! Csúnya-szörnyű

vámpírok, sárkány, ördögök!

Tört szerelem dől most a kertre,

mint fű, ha zápor mosta-verte,

s öreg kapunk, a rozsda verte,

majd sarka bomlik, úgy döbög.



Pokoli jaj! üvöltöz sírva, döngve!

E banda, melyet hajszol a vihar,

irgalmas Ég! bizton leszáll tetőnkre.

Kormos haduktól görnyedez a fal.

A ház sikolt és imbolyog botorkán,

talán tövestül tépte ki az orkán,

s fonnyadt levélként messzi elsodorván

görgeti örvénylő hullámaival.


E szennyes, esti démonoktól,

próféta! ha megment erőd,

tar homlokom, a porba bókol

oltárköved, a szent előtt!

E hű kapukról fúdd le skarlát

leheletük sziklás viharját

s ablakunk hasztalan csikarják

e körmös szárnyú vakmerők.


Elmentek! - A ronda horda

elinal, suhan s patás

lábuktól nem nyög a porta,

melyet nyűtt ezer csapás.

Zúg a lég, láncuk csörögvén

s átráng a rengeteg öblén

tűz röptüktől deli tölgy vén

sudarán a borzadás.


Szárnyuknak már joházik

vad verdesése fönn,

a síkon tétovázik

oly gyöngén, elveszőn,

mintha kis szöcske fogna

törékeny, halk dalokba,

vagy jégeső kopogna

egy vén ólomtetőn.


Foszló szavakat küld

hozzánk csak a szél:

mint messzi arab kürt,

hab bongva zenél,

fojtott dala fájón

fel-felbúg a tájon

s a gyermeki álmon

aranylik az éj.


A dzsinni népség,

síri csapat,

sürg a sötétség

sátra alatt;

mormol a méla

had zaja, néha

ily zene kél, ha

rezzen a hab.


Zaj csitul, lám

aluszik,

parti hullám

elúszik;

lágy panasz zeng,

ájtatos szent

gyászol ott fent

valakit.


Borong a

nagy éj...

Nesz hangja,

ha kél,

oly gyenge,

hogy lengve

a csendbe

alél.


Victor Hugo.

samedi 21 septembre 2013

Les Djinns.


Infos du livre audio - Audiocite.net


Les Djinns.


Murs, ville,

Et port,

Asile

De mort,

Mer grise

Où brise

La brise,

Tout dort.



Dans la plaine

Naît un bruit.

C'est l'haleine

De la nuit.

Elle brame

Comme une âme

Qu'une flamme

Toujours suit !



La voix plus haute

Semble un grelot.

D'un nain qui saute

C'est le galop.

Il fuit, s'élance,

Puis en cadence

Sur un pied danse

Au bout d'un flot.



La rumeur approche.

L'écho la redit.

C'est comme la cloche

D'un couvent maudit ;

Comme un bruit de foule,

Qui tonne et qui roule,

Et tantôt s'écroule,

Et tantôt grandit,



Dieu ! la voix sépulcrale

Des Djinns !... Quel bruit ils font !

Fuyons sous la spirale

De l'escalier profond.

Déjà s'éteint ma lampe,

Et l'ombre de la rampe,

Qui le long du mur rampe,

Monte jusqu'au plafond.



C'est l'essaim des Djinns qui passe,

Et tourbillonne en sifflant !

Les ifs, que leur vol fracasse,

Craquent comme un pin brulant.

Leur troupeau, lourd et rapide,

Volant dans l'espace vide,

Semble un nuage livide

Qui porte un éclair au flanc.



Ils sont tout près ! - Tenons fermée

Cette salle, où nous les narguons.

Quel bruit dehors ! Hideuse armée

De vampires et de dragons !

La poutre du toit descellée

Ploie ainsi qu'une herbe mouillée,

Et la vieille porte rouillée

Tremble, à déraciner ses gonds !



Cris de l'enfer! voix qui hurle et qui pleure !

L'horrible essaim, poussé par l'aquilon,

Sans doute, ô ciel ! s'abat sur ma demeure.

Le mur fléchit sous le noir bataillon.

La maison crie et chancelle penchée,

Et l'on dirait que, du sol arrachée,

Ainsi qu'il chasse une feuille séchée,

Le vent la roule avec leur tourbillon !



Prophète ! si ta main me sauve

De ces impurs démons des soirs,

J'irai prosterner mon front chauve

Devant tes sacrés encensoirs !

Fais que sur ces portes fidèles

Meure leur souffle d'étincelles,

Et qu'en vain l'ongle de leurs ailes

Grince et crie à ces vitraux noirs !



Ils sont passés ! - Leur cohorte

S'envole, et fuit, et leurs pieds

Cessent de battre ma porte

De leurs coups multipliés.

L'air est plein d'un bruit de chaînes,

Et dans les forêts prochaines

Frissonnent tous les grands chênes,

Sous leur vol de feu pliés !



De leurs ailes lointaines

Le battement décroît,

Si confus dans les plaines,

Si faible, que l'on croit

Ouïr la sauterelle

Crier d'une voix grêle,

Ou pétiller la grêle

Sur le plomb d'un vieux toit.



D'étranges syllabes

Nous viennent encor ;

Ainsi, des arabes

Quand sonne le cor,

Un chant sur la grève

Par instants s'élève,

Et l'enfant qui rêve

Fait des rêves d'or.



Les Djinns funèbres,

Fils du trépas,

Dans les ténèbres

Pressent leurs pas ;

Leur essaim gronde :

Ainsi, profonde,

Murmure une onde

Qu'on ne voit pas.



Ce bruit vague

Qui s'endort,

C'est la vague

Sur le bord ;

C'est la plainte,

Presque éteinte,

D'une sainte

Pour un mort.



On doute

La nuit...

J'écoute : -

Tout fuit,

Tout passe

L'espace

Efface

Le bruit.

Murs, ville,

Et port,

Asile

De mort,

Mer grise

Où brise

La brise,

Tout dort.



Dans la plaine

Naît un bruit.

C'est l'haleine

De la nuit.

Elle brame

Comme une âme

Qu'une flamme

Toujours suit !



La voix plus haute

Semble un grelot.

D'un nain qui saute

C'est le galop.

Il fuit, s'élance,

Puis en cadence

Sur un pied danse

Au bout d'un flot.



La rumeur approche.

L'écho la redit.

C'est comme la cloche

D'un couvent maudit ;

Comme un bruit de foule,

Qui tonne et qui roule,

Et tantôt s'écroule,

Et tantôt grandit,



Dieu ! la voix sépulcrale

Des Djinns !... Quel bruit ils font !

Fuyons sous la spirale

De l'escalier profond.

Déjà s'éteint ma lampe,

Et l'ombre de la rampe,

Qui le long du mur rampe,

Monte jusqu'au plafond.



C'est l'essaim des Djinns qui passe,

Et tourbillonne en sifflant !

Les ifs, que leur vol fracasse,

Craquent comme un pin brulant.

Leur troupeau, lourd et rapide,

Volant dans l'espace vide,

Semble un nuage livide

Qui porte un éclair au flanc.



Ils sont tout près ! - Tenons fermée

Cette salle, où nous les narguons.

Quel bruit dehors ! Hideuse armée

De vampires et de dragons !

La poutre du toit descellée

Ploie ainsi qu'une herbe mouillée,

Et la vieille porte rouillée

Tremble, à déraciner ses gonds !



Cris de l'enfer! voix qui hurle et qui pleure !

L'horrible essaim, poussé par l'aquilon,

Sans doute, ô ciel ! s'abat sur ma demeure.

Le mur fléchit sous le noir bataillon.

La maison crie et chancelle penchée,

Et l'on dirait que, du sol arrachée,

Ainsi qu'il chasse une feuille séchée,

Le vent la roule avec leur tourbillon !



Prophète ! si ta main me sauve

De ces impurs démons des soirs,

J'irai prosterner mon front chauve

Devant tes sacrés encensoirs !

Fais que sur ces portes fidèles

Meure leur souffle d'étincelles,

Et qu'en vain l'ongle de leurs ailes

Grince et crie à ces vitraux noirs !



Ils sont passés ! - Leur cohorte

S'envole, et fuit, et leurs pieds

Cessent de battre ma porte

De leurs coups multipliés.

L'air est plein d'un bruit de chaînes,

Et dans les forêts prochaines

Frissonnent tous les grands chênes,

Sous leur vol de feu pliés !



De leurs ailes lointaines

Le battement décroît,

Si confus dans les plaines,

Si faible, que l'on croit

Ouïr la sauterelle

Crier d'une voix grêle,

Ou pétiller la grêle

Sur le plomb d'un vieux toit.



D'étranges syllabes

Nous viennent encor ;

Ainsi, des arabes

Quand sonne le cor,

Un chant sur la grève

Par instants s'élève,

Et l'enfant qui rêve

Fait des rêves d'or.



Les Djinns funèbres,

Fils du trépas,

Dans les ténèbres

Pressent leurs pas ;

Leur essaim gronde :

Ainsi, profonde,

Murmure une onde

Qu'on ne voit pas.



Ce bruit vague

Qui s'endort,

C'est la vague

Sur le bord ;

C'est la plainte,

Presque éteinte,

D'une sainte

Pour un mort.



On doute

La nuit...

J'écoute : -

Tout fuit,

Tout passe

L'espace

Efface

Le bruit.


Victor Hugo.

mercredi 18 septembre 2013

A nap ma fellegek között pihent le este.


A nap ma fellegek között pihent le este.

Holnap jön a vihar, majd est, majd éj megint,

és hajnal, villogó fényét ködökbe vesztve,

s nap, éj – szökő időnk egy-egy lépése mind.


 Vonulnak a napok, vonulnak csapatostul,

a tengerek szinén, a nagy hegyeken át,

ezüst víz s rengeteg fölött, mely zúgva bozsdul,

zúgva szeretteink halotti himnuszát.


S a szirtek homloka s a vizek arca folyvást

ráncos lesz, s mégse vén, és mindig zöld a lomb,

ifjodván szüntelen; és minden hegyi forrást

a végtelen folyó az óceánba ont.


 De én, ki napra nap fejem mélyebbre hajtva

fázósan járok itt, ünneplő ég alatt,

én elmegyek, s a nagy, tündöklő-fényű, tarka

világban semmi sem érzi hiányomat.


Victor Hugo.

Le soleil s'est couché ce soir dans les nuées.




Le soleil s'est couché ce soir dans les nuées.


Le soleil s'est couché ce soir dans les nuées.

Demain viendra l'orage, et le soir, et la nuit ;

Puis l'aube, et ses clartés de vapeurs obstruées ;

Puis les nuits, puis les jours, pas du temps qui s'enfuit !


Tous ces jours passeront; ils passeront en foule

Sur la face des mers, sur la face des monts,

Sur les fleuves d'argent, sur les forêts où roule

Comme un hymne confus des morts que nous aimons.

  

Et la face des eaux, et le front des montagnes,

Ridés et non vieillis, et les bois toujours verts

S'iront rajeunissant ; le fleuve des campagnes

Prendra sans cesse aux monts le flot qu'il donne aux mers.


Mais moi, sous chaque jour courbant plus bas ma tête,

Je passe, et, refroidi sous ce soleil joyeux,

Je m'en irai bientôt, au milieu de la fête,

Sans que rien manque au monde, immense et radieux !



Victor Hugo.


dimanche 15 septembre 2013

A szatír (részlet)



A szatír (részlet)

A szatír most megállt, várt egy pillanatig,

zihálva, mint aki az árból felbukik,

s arcvonásain át egy másik lény derengett;

a döbbent istenek Jupiterre figyeltek,

Es dermedt urukat bámulták hallgatag.


És ő tovább beszélt:


„A fojtó súly alatt

újranőtt a való, a Rossz megfékezője.

Mi a föld, istenek? mit tudtok ti felőle?

Legyőztétek, de nem értettétek soha.

Ott é1 fölöttetek más szellemek sora,

kik tűz, víz, köd mögött és fellegben lakozva

várnak, álmodozón, roppant bukásotokra.

De mindez mít nekem! aki a végtelen

éjek alján vagyok riasztó-fényü szem!

Van más szfinx, istenek, mint a thébai, ősi,

tudjátok meg, ti föld s pokol rettegtetői,

vér-ontó istenek, átlátunk rajtatok:

belőlünk banditát formált hegyormotok,

hol egyensúlyt mimel föld és ég, mert tiétek

lett így a hatalom – s a szabadság enyém lett.

Míg ti gyűlöletet szórtok, cselt és halált,

és minden bűnökön könnyen láboltok át,

én álmodom. Vagyok a barlang szeme. Látok.

S mindegy: Olimpuszok, vagy fátylas alvilágok,

lombok, sas, jégmadár, fal, templom, cinterem:

ugyanegy látomást tükröz tekintetem;

gyötrelmek, istenek, a volt nap és a holnap

szemem fényét szelik és újra szétfoszolnak.

Tanú vagyok reá: minden eltűnik, el.

Valaki van. De azt ember nem éri fel.

Az ember les, kutat, próbál, ezt-azt kimódol,

márványtömböt farag, levés a szirtoromból

egy szoborra valót és szól: megleltem Őt.

És elkáprázva áll a kődarab előtt;

és mindnek, bármilyen, megvan a maga papja.

A Halhatatlanok ti legyetek! No rajta!

A kőre dobjatok reszkető lényeket,

uralkodjatok; ám mikor bevérzitek

az ég színét, amely a fénytől kapja kékjét,

mikor, ti győztesek, végleg betelt a mérték,

majd helyetekre lép a végső, a sötét

isten, kit úgy nevez az ember, hogy: Elég!

Mert Delphi, Pisa is szekérként elgörögnek,

és minden összedől, gondolják bár öröknek,

tízig se számolok és idejük lejárt."


Így szólván a szatír mérhetetlenre vált,

Polüphémosz se volt ily óriás, temérdek;

nagyobb lett, mint Tüphón, ki bőgve tört az égnek,

s öklével iszonyú pörölyként csapdosott,

nagyobb lett, mint Titán, az Athosznál nagyobb,

a Térrel lett tele ez a fekete forma;

s mint tengerész előtt a szökkenő hegy orma,

úgy nőtt az istenek előtt a rémalak;

homlokán különös, derengő pirkadat;

bozontja dzsungel, és áradva kifelé tör

száz csermely, száz folyam patakzó csipejéből;

két szarva Atlasz és Kaukázus, melyen

szárazvillám tüzel, villódzva nesztelen;

lágyékán a mezők tágas lapálya lüktet,

és gyűrött púpjai hegységekké feszülnek;

az állat-had, melyet zenéje elbüvöl,

a tigris és az őz testén vonul le-föl,

karján az április virít szirom-selyemmel,

hónalja hajlatán bujdokol a december;

s bolygó népek hada útját tévesztve áll

öt ujja képtelen keresztútjainál;

nyíló ajkai közt saskeselyűk kerengnek;

s mert testéhez simult, a lant is végtelen lett,

dalol, sír és üvölt, sikolt és mennydörög,

és hét húrja között még az orkán se több,

mint hálóba szorult, felzümmögő szunyog-dal;

s melle-boltozata tele van csillagokkal.


 S kiált:

 „Nem, nem egyéb az ég-adta jövő,

mint örök áradás, mely végtelenbe nő,

és szellem, mely a tárgy minden ízéig áthat!

Csonkítja a hatást, ki az oknak határt szab;

a rossz az istenek formájából fakad,

homályt terjesztenek a fényes sugarak;

fantomot tenni az Élő fölé miért kell?

Nem, nem birodalom a kristály ég, az éter.

Helyet a dél, az est, helyet a pirkadat,

kék és sötét egek nyüzsgő rajainak!

Az atomnak helyet, ha izzik vagy ha árad!

És az egyetemes lélek fényfolyamának!

Egy király: háború, egy isten: éjszaka.

Dőljön a dogma! jöjj, szabadság, hit kora!

Ragyog a fény, a lét, a lángész szerte-lángol,

sarjad a szeretet örök harmóniából!

A tiszta ég szelíd farkasokat nevel;

a Mindenség vagyok: Pán; térdre, Jupiter!"


Victor Hugo.

samedi 14 septembre 2013

Le satyre (extrait)





Le satyre (extrait)


Le satyre un moment s’arrêta, respirant

Comme un homme levant son front hors d’un torrent ;

Un autre être semblait sous sa face apparaître ;

Les dieux s’étaient tournés, inquiets, vers le maître,

Et, pensifs, regardaient Jupiter stupéfait.


Il reprit :

« Sous le poids hideux qui l’étouffait,

» Le réel renaîtra, dompteur du mal immonde.

» Dieux, vous ne savez pas ce que c’est que le monde ;

» Dieux, vous avez vaincu, vous n’avez pas compris.

» Vous avez au-dessus de vous d’autres esprits,

» Qui, dans le feu, la nue, et l’onde et la bruine,

» Songent en attendant votre immense ruine.

» Mais qu’est-ce que cela me fait à moi qui suis

» La prunelle effarée au fond des vastes nuits !

» Dieux, il est d’autres sphinx que le vieux sphinx de Thèbe.

» Sachez ceci, tyrans de l’homme et de l’Érèbe,

» Dieux qui versez le sang, dieux dont on voit le fond :

» Nous nous sommes tous faits bandits sur ce grand mont

» Où la terre et le ciel semblent en équilibre,

» Mais vous pour être rois et moi pour être libre.

» Pendant que vous semez haine, fraude et trépas,

» Et que vous enjambez tout le crime en trois pas,

» Moi, je songe. Je suis l’œil fixe des cavernes.

» Je vois. Olympes bleus et ténébreux Avernes,

» Temples, charniers, forêts, cités, aigle, alcyon,

» Sont devant mon regard la même vision ;

» Les dieux, les fléaux, ceux d’à présent, ceux d’ensuite,

» Traversent ma lueur et sont la même fuite.

» Je suis témoin que tout disparaît. Quelqu’un est.

» Mais celui-là, jamais l’homme ne le connaît.

» L’humanité suppose, ébauche, essaye, approche ;

» Elle façonne un marbre, elle taille une roche,

» Et fait une statue, et dit : Ce sera lui.

» L’homme reste devant cette pierre ébloui ;

» Et tous les à-peu-près, quels qu’ils soient, ont des prêtres.

» Soyez les Immortels, faites ! broyez les êtres,

» Achevez ce vain tas de vivants palpitants,

» Régnez ; quand vous aurez, encore un peu de temps,

» Ensanglanté le ciel que la lumière azure,

» Quand vous aurez, vainqueurs, comblé votre mesure,

» C’est bien, tout sera dit, vous serez remplacés

» Par ce noir dieu final que l’homme appelle Assez !

» Car Delphe et Pise sont comme des chars qui roulent,

» Et les choses qu’on crut éternelles s’écroulent

» Avant qu’on ait le temps de compter jusqu’à vingt. »



Tout en parlant ainsi, le satyre devint

Démesuré ; plus grand d’abord que Polyphème,

Puis plus grand que Typhon qui hurle et qui blasphème,

Et qui heurte ses poings ainsi que des marteaux,

Puis plus grand que Titan, puis plus grand que l’Athos ;

L’espace immense entra dans cette forme noire ;

Et, comme le marin voit croître un promontoire,

Les dieux dressés voyaient grandir l’être effrayant ;

Sur son front blêmissait un étrange orient ;

Sa chevelure était une forêt ; des ondes,

Fleuves, lacs, ruisselaient de ses hanches profondes ;

Ses deux cornes semblaient le Caucase et l’Atlas ;

Les foudres l’entouraient avec de sourds éclats ;

Sur ses flancs palpitaient des prés et des campagnes,

Et ses difformités s’étaient faites montagnes ;

Les animaux qu’avaient attirés ses accords,

Daims et tigres, montaient tout le long de son corps ;

Des avrils tout en fleurs verdoyaient sur ses membres ;

Le pli de son aisselle abritait des décembres ;

Et des peuples errants demandaient leur chemin,

Perdus au carrefour des cinq doigts de sa main ;

Des aigles tournoyaient dans sa bouche béante ;

La lyre, devenue en le touchant géante,

Chantait, pleurait, grondait, tonnait, jetait des cris ;

Les ouragans étaient dans les sept cordes pris

Comme des moucherons dans de lugubres toiles ;

Sa poitrine terrible était pleine d’étoiles.



Il cria :



« L’avenir, tel que les cieux le font,

» C’est l’élargissement dans l’infini sans fond,

» C’est l’esprit pénétrant de toutes parts la chose !

» On mutile l’effet en limitant la cause ;

» Monde, tout le mal vient de la forme des dieux.

» On fait du ténébreux avec le radieux ;

» Pourquoi mettre au-dessus de l’Être, des fantômes ?

» Les clartés, les éthers ne sont pas des royaumes.

» Place au fourmillement éternel des cieux noirs,

» Des cieux bleus, des midis, des aurores, des soirs !

» Place à l’atome saint qui brule ou qui ruisselle !

» Place au rayonnement de l’âme universelle !

» Un roi c’est de la guerre, un dieu c’est de la nuit.

» Liberté, vie et foi, sur le dogme détruit !

» Partout une lumière et partout un génie !

» Amour ! tout s’entendra, tout étant l’harmonie !

» L’azur du ciel sera l’apaisement des loups.

» Place à Tout ! Je suis Pan ; Jupiter ! à genoux. »


Victor Hugo.

lundi 9 septembre 2013

A költő a mezőn sétálgat.


A költő a mezőn sétálgat.


A költő a mezőn sétálgat, és a lelke

ámul, imádkozik; egy lant szól zengve benne;

s hogy észreveszik, a sok virág mindahány,

az, melyhez mérve a rubint is halavány,

az, melynek színe a pávatollnál merészebb,

s a kis aranyszínűk meg a parányi kékek

csokrukkal mind felé intenek, ez kecses

mosollyal bókol, az kacéran is begyes,

s meghitten, mivel a szépnemhez ez az illő:

Vigyázz, szerelmesünk — suttogják —, aki itt jő!

Száz nesszel, fénnyel és árnnyal telten a mély

lombú öreg fa mind, mely az erdőben él,

e sok vén: a juhar, az éger és a hársfa,

a ráncos fűz s a tölgy, e tisztes pátriárka,

a sötétágu szil, mit a moha benő,

mint ulemák, mikor a mufti lép elő,

mélységes bókokat vágva egész a földre

hajtják lombos fejük s loncszakálluk előtte,

s úgy sugják, látva a derűsen ragyogó,

tiszta fényt homlokán: Ez ő, az álmodó!


Victor Hugo.

Le poète s'en va dans les champs..

 


 Le poète s'en va dans les champs.


Le poète s'en va dans les champs ; il admire,

Il adore ; il écoute en lui-même une lyre ;

Et le voyant venir, les fleurs, toutes les fleurs,

Celles qui des rubis font pâlir les couleurs,

Celles qui des paons même éclipseraient les queues,

Les petites fleurs d'or, les petites fleurs bleues,

Prennent, pour l'accueillir agitant leurs bouquets,

De petits airs penchés ou de grands airs coquets,

Et, familièrement, car cela sied aux belles :

- Tiens ! c'est notre amoureux qui passe ! disent-elles.

Et, pleins de jour et d'ombre et de confuses voix,

Les grands arbres profonds qui vivent dans les bois,

Tous ces vieillards, les ifs, les tilleuls, les érables,

Les saules tout ridés, les chênes vénérables,

L'orme au branchage noir, de mousse appesanti,

Comme les ulémas quand paraît le muphti,

Lui font de grands saluts et courbent jusqu'à terre

Leurs têtes de feuillée et leurs barbes de lierre,

Contemplent de son front la sereine lueur,

Et murmurent tout bas : C'est lui ! c'est le rêveur !

Victor Hugo.



jeudi 5 septembre 2013

A koldus.


A koldus.

A szélben, dérben egy öreg koldus haladt.

Megvertem ablakom; megállt a ház alatt,

várta, míg szívesen az ajtómat kitárom.

Parasztok jöttek ott, néhány nyerges szamáron

gubbasztva csöndesen a vásárból haza.

A koldus ismerős: ez él kint egymaga

vackán, a hegy alatt, álmodva s egyre várva

földi garasra és egy mennybéli sugárra,

Istenhez nyújtva és emberhez a kezét.

— Melegedjék kicsit, jöjjön csak közelébb,

hogy hívják? — A szegény; nincs más nevem — felelte.

Megfogtam a kezét: — Barátom, jöjjön erre. —

És egy szilke tejet hozattam hirtelen.

Didergett az öreg; aztán beszélt nekem,

s feleltem is, de csak mélán, szórakozottan.

— Lucskos ez a ruha, ki kell terítni — mondtam —

a kandalló előtt. — Ő odalépkedett,

szétteregette a forró tűzhely felett

a hajdan kék színű, féregrágta kabátot,

s amint a száz lyukon a tűzfény átparázslott,

olyan volt feketén, mint egy csillagos ég.

S míg szárogatta ott cafatos köntösét,

melyből dőlt az eső vegyest a tócsaszennyel,

gondoltam: telve van imával ez az ember,

és szóra süketen, csak néztem, réveteg,

s ott láttam göncein a csillagképeket.


Victor Hugo
.

Le mendiant.



Le mendiant


Un pauvre homme passait dans le givre et le vent.

Je cognai sur ma vitre ; il s'arrêta devant

Ma porte, que j'ouvris d'une façon civile.

Les ânes revenaient du marché de la ville,

Portant les paysans accroupis sur leurs bâts.

C'était le vieux qui vit dans une niche au bas

De la montée, et rêve, attendant, solitaire,

Un rayon du ciel triste, un liard de la terre,

Tendant les mains pour l'homme et les joignant pour Dieu.

je lui criai : « Venez vous réchauffer un peu.

Comment vous nommez-vous ? » Il me dit : « Je me nomme

Le pauvre. » Je lui pris la main : « Entrez, brave homme. »

Et je lui fis donner une jatte de lait.

Le vieillard grelottait de froid ; il me parlait,

Et je lui répondais, pensif et sans l'entendre.

« Vos habits sont mouillés », dis-je, « il faut les étendre,

Devant la cheminée. » Il s'approcha du feu.

Son manteau, tout mangé des vers, et jadis bleu,

Étalé largement sur la chaude fournaise,

Piqué de mille trous par la lueur de braise,

Couvrait l'âtre, et semblait un ciel noir étoilé.

Et, pendant qu'il séchait ce haillon désolé

D'où ruisselait la pluie et l'eau des fondrières,

Je songeais que cet homme était plein de prières,

Et je regardais, sourd à ce que nous disions,

Sa bure où je voyais des constellations.

Victor Hugo.

mercredi 4 septembre 2013

Az éj, az éj, az éj.


Az éj, az éj, az éj.

Az éj, az éj, az éj s az éjbe-mélybe halva
Kezdődik csöndesen az óceán siralma,
Matróz hajóra kap.
Az ember felzokog, azt mondja „miserére”
S az ég, a lég zokog, felel a bús zenére
És sír, zokog a hab.

Sóhajt a sziklagát, mit majd eltorlaszoltak
Csalánok, giz-gazok. Most kelnek ki a holtak
S hallják a síri neszt.
A fertelmes bürök borzong az éji szóra,
Titokzatos szárán kinyíl a mandragóra.
S búsan beszélni kezd.

Mért reszket a szeder? És mért rí olyan árván,
A barlang fája is? Miért könnyez a márvány
Az éjbe mindenütt?
Mindegyikük talán egy bűnös, ősi Káin
S jaj, a fényt keresik itélet éjszakáin,
Könnyük van s nincs szemük.

Nyöszörög a hajó, mint az, aki leroskad,
Kéménye nyikorog s fehér és viharos hab
Csap rá, gyönggyel tele,
Az árnyba rák uszik, s tüskés-hal, nagy uszonnyal
És lüktet vemhesen, szörnyekkel és iszonnyal,
A víz vad élete.

A mély bozót kiált. S az orkánba kinyílva
Férgektől rágottan üvölt az éjbe Scylla,
Hollócsapat riog.
S a fergetegbe zaj és tompa jaj döcög föl
A lánccsörömpölő és nyirkos tömlöcökből,
Ordítnak a sírok.

Ki jár a partokon, ki álmodik e titkos
Órán, mikor a rém kisért s az éji gyilkos
Sunyítva útra kél?
S miért bőg az erdő, e roppant székesegyház,
Miért jajong-hörög, míg lengő kötelet ráz
S halálra kong a szél?

Szájak susognak most s füled bal muzsikát hall
És látod az úton, bozontos lombon által,
Temetés mégy alant,
Bömböl a szélvihar, ahogy kifér a torkán
Sápadt sírkerteken sötétedik az orkán.
Ó mondd, kié e hang?

Mi e roppant zsoltár és éneke a földnek,
Mit az ég is dalol és senki meg nem ölhet,
Nem fojt el semmise?
A büszke hullám is csak ezt dübörgi karba,
A víz, a nád, a fű ezt zengi fölzavarva,
Mi e bús gyászmise?

Ó Elmulás, hallom ijesztő orgonádat,
Min az egész világ minden lármája áthat,
S zátonyzúgás követ.
A billentyüknél a Halál ül, odabujva
S feketét és fehért érint olykor az ujja:
Koporsód, sirköved.

Victor Hugo

mardi 3 septembre 2013

La nuit! la nuit! la nuit!




La nuit! la nuit! la nuit!

La nuit! la nuit! la nuit! Et voilà que commence
Le noir de profundis de l’océan immense.
Le marin tremble, aux flots livré;
Miserere, dit l’homme; et, dans le ciel qui gronde,
L’air dit: miserere! Miserere, dit l’onde;
Miserere! miserere!

Le dolmen, dont l’ortie ensevelit les tables,
Pousse un soupir; les morts se dressent lamentables;
Gémissent-ils? Ecoutent-ils?
La jusquiame affreuse entr’ouvre ses corolles;
La mandragore laisse échapper des paroles
De ses mystérieux pistils.

Qu’a-t-on fait à la ronce et qu’a-t-on fait à l’arbre?
Qu’ont-ils donc à pleurer? Pour qui l’antre de marbre
Verse-t-il ces larmes d’adieux?
Sont-ce les noirs Caïns d’une faute première?
Deuil! ils ont la souffrance et n’ont pas la lumière!
Ils ont des pleurs et n’ont pas d’yeux!

Le navire se plaint comme un homme qui souffre,
Le tuyau grince et fume, et le flot qui s’engouffre
Blanchit les tambours du steamer,
Le crabe, le dragon, l’orphe aux larges ouïes,
Nagent dans l’ombre où rampe en formes inouïes
La vie horrible de la mer.

Le hallier crie; il semble, à travers l’âpre bise,
Qu’on entende hurler Nemrod, Sylla, Cambyse,
Rongés du ver et du corbeau,
Et sortir, dans l’orage et la brume et la haine,
Des froids caveaux où sont les damnés à la chaîne,
Les rugissements du tombeau.

Est-il quelqu’un qui cherche? est-il quelqu’un qui rêve?
Est-il quelqu’un qui marche à l’heure où sur la grève
Rôdent le spectre et l’assassin,
Et qui sache, ô vivants! pourquoi sanglote et râle
La forêt, monstrueuse et fauve cathédrale,
Où le vent sonne le tocsin?

On entend vous parler à l’oreille des bouches;
On voit dans les clartés des branchages farouches
Où passent de mornes convois;
Le vent, bouleversant l’arbre aux cimes altières,
Emplit de tourbillons les blêmes cimetières;
Quelle est donc cette étrange voix?

Quel est ce psaume énorme et que rien ne fait taire?
Et qui donc chante, avec les souffles de la terre,
Avec le murmure des cieux,
Avec le tremblement de la vague superbe,
Les joncs, les eaux, tes bois, le sifflement de l’herbe,
Le requiem mystérieux?

O sépulcres! j’entends l’orgue effrayant de l’ombre,
Formé de tous les cris de la nature sombre
Et du bruit de tous les écueils;
La mort est au clavier qui frémit dans les branches,
Et les touches, tantôt noires et tantôt blanches,
Sont vos pierres et vos cercueils.

Victor Hugo.