L’homme
L’homme (détails)
(à René Koltz in memoriam)
Ma peau sent
les cours humides
les champs abandonnés
Je me penche
sur les bords du monde
Tu n'es nulle part
…
les mots roulent
entre nous
comme des pierres
dures de silence
…
J'ignore
si je vis dans l'ordre
ou le désordre
Si aujourd'hui est hier
ou demain
ou les deux ensemble
Anise Koltz.
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